Affreux sales et méchants est l'un des parangons de la comédie à l'italienne. Toutefois, si cette satire est aussi grinçante et désopilante, avec un humour noir qu'on aimerait revoir aujourd
Voirla bande-annonce du film Affreux, Sales & Méchants. Ajouter aux envies; Déjà vu; Voir la bande-annonce du film Affreux, Sales & Méchants . Explorez le cinéma selon vos préférences. Découvrez la toute nouvelle expérience dédiée aux passionnés de cinéma : un moteur de recherche intelligent, des expériences exclusives, des contenus inédits et personnalisés. Créez
Affreux sales et méchants Sa 30/08 à 14h30 - Ma 2/09 à 19h - Me 3/09 à 17h Ve 5/09 à 14h30 - Ma 9/09 à 16h30 Dernier amour de Dino Risi Ex-gloire de la comédie, picchio arrive dans une maison de retraite pour anciens comédiens. il tombe amoureux de la jeune Renata, et décide de la suivre à Rome, pour vivre la premiÚre aventure
Lasélection mensuelle de Montreurs d'ombres présente deux films, Affreux, sales et méchants, à Saint-Briac, et Dodes'ka-den, à Saint
Profession Actrice chanteuse présentatrice. Films notables. La Possédée du vice. Le Décaméron noir. Affreux, sales et méchants. modifier. Beryl Cunningham née à Montego Bay, en Jamaïque le 8 août 1946 et morte le 11 décembre 2020 1, 2, est une actrice, model, chanteuse et présentatrice jamaïcaine active en Italie.
Vay Tiá»n Nhanh Ggads.
16/09/2020 - VENISE 2020 Nous avons discutĂ© avec Pietro Castellitto de son premier long-mĂ©trage comme rĂ©alisateur, I predatori, prix du scĂ©nario dans la section OrizzontiPietro Castellitto avec son prix du scĂ©nario dans la section Orizzonti © La Biennale di Venezia/ASAC/Andrea AvezzĂčPietro Castellitto a fait ses dĂ©buts dâacteur en 2004, sous la direction de son pĂšre Sergio dans Non ti muovere. I predatori [+lire aussi critiquebande-annonceinterview Pietro Castellittofiche film] est le film qui marque ses premiers pas Ă la rĂ©alisation et qui lui a valu Ă la 77e Mostra de Venise, qui vient de se conclure, le Prix Orizzonti du meilleur scĂ©nario. Dans le film, les Pavone et les Vismara sont deux familles romaines dâextractions socio-culturelles totalement diffĂ©rentes lâune est riche et bourgeoise, lâautre prolĂ©taire et fasciste. Un petit incident va amener les deux familles Ă se heurter l'une Ă l'autre, ce qui va faire Ă©merger certains petits secrets. Cineuropa On peut commencer sur une dĂ©claration que vous avez faite Ă Venise aprĂšs la projection "Câest un film anti-bourgeois et pas antifasciste". Pourriez-vous nous expliquer ce que vous entendez par lĂ ?Pietro Castellitto Le film part de la perspective du jeune hĂ©ros, Federico, qui est un bourgeois et se retrouve au contact d'une famille antithĂ©tique Ă la sienne. Le point de dĂ©part est la frustration de Federico, semblable Ă celle que jâai Ă©prouvĂ©e moi-mĂȘme. Ce n'est pas que je me sentais aliĂ©nĂ© ou perdu devant les nĂ©o-fascistes, comprenez-vous ? Un film contre le fascisme aurait eu du sens dans les annĂ©es 20, mais aujourdâhui ça tendrait vers un certain racisme intellectuel, ça tendrait Ă exclure lâautre, et les gens qui ne pensent pas comme vous, afin de les dĂ©lĂ©gitimer complĂštement. Les fascistes de mon film sont comme des animaux qui ont les pigments de la peau colorĂ©s dâailleurs, ils ont des chemises excentriques et des tatouages, ils sont comme ces crĂ©atures qui veulent faire croire quâelles sont venimeuses mais ne le sont pas. Dans la scĂšne de la famille qui dĂźne au restaurant, Federico dit Ă ses parents "vous Ă©tiez les premiers jeunes cons de lâhistoire". CâĂ©tait un choc des gĂ©nĂ©rations dans un contexte qui Ă©taient jeunes dans les annĂ©es 70 et 80 ont Ă©tĂ© les premiers qui se sont imposĂ©s en tant que jeunes, les premiers "jeunes" de notre Histoire rĂ©cente. Il y en avait aussi dans les annĂ©es 20 â par exemple, Francis Scott Fitzgerald a Ă©crit un livre Ă 23 ans, mais câĂ©tait dĂ©jĂ des hommes, ils avaient une place dans le monde qui Ă©tait plus vieille. Câest contre le "pouvoir juvĂ©nile", plus rĂ©cent, que se jette Federico. Câest une attaque instinctive, de rage, pas vraiment planifiĂ©e. Un de vos acteurs, Massimo Popolizio, a parlĂ© de trois styles mĂ©langĂ©s Buster Keaton, une piĂšce familiale française et une comĂ©die italienne comme Affreux, sales et mĂ©chants, le chef-dâĆuvre d'Ettore Scola. De quel cinĂ©ma vous ĂȘtes-vous rĂ©ellement inspirĂ© ?Le seul film familial que je pouvais avoir Ă l'esprit Ă©tait American Beauty, du point de vue de la tension. Naturellement, le film de Sam Mendes est plus dramatique, en plus dâĂȘtre un chef-dâĆuvre. Et câest de ces-lĂ films quâil faut sâinspirer, pas de films mĂ©diocres. Affreux, sales et mĂ©chants est un film que jâaime ; il mâa peut-ĂȘtre inspirĂ© inconsciemment. Scola a peut-ĂȘtre Ă©tĂ© un des plus grands crĂ©ateurs de boutades du cinĂ©ma italien. Les boutades Ă©taient toujours crĂ©dibles dans la bouche de ses personnages. Cela dit, je ne pensais Ă aucun film en particulier pendant le tournage. A-t-il Ă©tĂ© plus difficile dâĂ©crire, de tourner ou de trouver un producteur qui ne vous aide pas seulement parce que vous ĂȘtes le fils dâun homme de cinĂ©ma trĂšs connu ?Jâai Ă©crit ce film Ă 20 ans. J'avais cessĂ© de faire lâacteur, je mâĂ©tais convaincu moi-mĂȘme que ce nâĂ©tait pas un travail pour moi. Câest un mĂ©tier trĂšs beau si on peut interprĂ©ter de beaux personnages. Je me rendais aussi compte que j'allais contre les prĂ©jugĂ©s, vers une fĂ©rocitĂ© gratuite, alors il Ă©tait plus facile dâĂ©crire, jâavais lâesprit plus clair que maintenant, et je nâavais pas le choix. CâĂ©tait ça ou rien. Le paradoxe, c''est que je suis arrivĂ© Ă faire le film parce que jâai recommencĂ© Ă faire lâacteur. Avant, ce que jâĂ©crivais Ă©tait jugĂ© "gentil",. AprĂšs avoir jouĂ© dans La profezia dell'armadillo [+lire aussi critiquebande-annoncefiche film], jâai gagnĂ© en crĂ©dibilitĂ©. Domenico Procacci de Fandango a lu mon scĂ©nario. Et quand je suis allĂ© le trouver, je me suis rendu compte que dans la piĂšce, il y avait une ambiance diffĂ©rente de celle de dâhabitude, une ambiance de bataille. Et jâai pensĂ© "Mince alors, ils vont me laisser faire le film". Mais le plus difficile a Ă©tĂ© de me convaincre moi-mĂȘme que ce film pouvait ĂȘtre fait. Parce que câest un film qui va contre tous les manuels de scĂ©nario. Et contre tous les conseils quâon donne pour aborder son premier film. Il y avait tellement de personnages, tellement de lieux diffĂ©rents. Câest un mĂ©tier quâon apprend en faisant des erreurs, et il nây a que quand on est jeune qu'on a le courage de faire des erreurs. Il y a des Ă©lĂ©ments en commun avec Favolacce [+lire aussi critiquebande-annonceinterview Fabio et Damiano D'Innocenzofiche film] des frĂšres Fabio et Damiano D'InnocenzoâŠOn est des amis proches, on se connaĂźt depuis longtemps. Nous avons une sensibilitĂ© en commun qui nous permettait de nous comprendre de maniĂšre instinctive, comme entre animaux. Le fait quâil y ait des bombes dans nos deux films est une coĂŻncidence qui, comme toutes les coĂŻncidences, n'a rien d'accidentel.Traduit de l'italien
Che Strano chiamarsi Federico Un film de Ettore Scola Quâil est Ă©trange de sâappeler Federico est un film hommage Ă Federico Fellini, Ă son art et Ă sa personnalitĂ©. Le cinĂ©aste Ettore Scola fait revivre leur rencontre au sein du journal satirique MarcâAurelio dans les annĂ©es 1950, leurs amis communs â parmi lesquels Marcello Mastroianni â et surtout le plaisir partagĂ© de faire des films⊠Italie - Italie - 2013 - 93 min - Couleurs - - VOSTF - Visa n° 139936 Ă propos Au cinĂ©ma le 9 juillet 2014 QUAND UN GRAND RĂALISATEUR ITALIEN RACONTE LE PLUS MYTHIQUE DE TOUS LES CINĂASTES Jâavais envie de parler avec Federico. De convoquer des souvenirs, de retrouver des conversations, des documents, des dessins quâil avait faits. [âŠ] On riait beaucoup avec Federico. De la vie, du monde et de lui-mĂȘme. » Ettore Scola Ă lâoccasion des vingt ans de sa disparition, Quâil est Ă©trange de sâappeler Federico retrace lâincroyable parcours de lâimmense rĂ©alisateur italien Federico Fellini, et notamment la grande histoire dâamitiĂ© quâil partagea avec Ettore Scola, son compatriote cinĂ©aste de onze ans son cadet. AprĂšs dix annĂ©es dâabsence dans le paysage cinĂ©matographique, le rĂ©alisateur dâAffreux, sales et mĂ©chants revient derriĂšre la camĂ©ra pour Ă©voquer celui qui fut Ă la fois son mentor et son ami, et dont le parcours fut souvent entremĂȘlĂ© avec le sien â de leurs dĂ©buts au sein du journal MarcâAurelio Ă leur consĂ©cration mondiale en tant que cinĂ©astes, en passant par leur amitiĂ© commune avec Marcello Mastroianni. Pour rĂ©aliser ce film hommage, Ettore Scola privilĂ©gie une esthĂ©tique forte et atypique puisque son oeuvre est Ă la croisĂ©e du film documentaire, prĂ©sentant de nombreux documents dâarchives, et du film de reconstitution quasi expĂ©rimental â avec les petits-fils de Scola pour jouer les rĂŽles des deux cinĂ©astes dans leur jeunesse. AcclamĂ© Ă la Mostra de Venise de 2013, Quâil est Ă©trange de sâappeler Federico raconte de la plus belle et de la plus inventive des façons la vie et la carriĂšre extraordinaire dâune lĂ©gende du cinĂ©ma, Federico Fellini. CrĂ©dits RĂ©alisation Ettore SCOLA ScĂ©nario Ettore SCOLA, Paola SCOLA, Silvia SCOLA Avec Tommaso LAZOTTI, Maurizio DE SANTIS, Giacomo LAZOTTI, Giulio FORGES DAVANZATI Musique Andrea GUERRA Directeur de la photographie Luciano TOVOLO DĂ©cors Luciano RICCERI Montage Raimondo CROCIANI Producteur exĂ©cutif Guido SIMONETTI Kit pro
Avant les Bidochon et bien avant les Tuche, il y avait les Dendron. Une famille dâĂ©boueurs dans la France prolĂ©taire qui vient de voter Giscard, affreux sales et mĂ©chants et de surcroĂźt fiers de lâĂȘtre. Ils vivent Ă Saint-Rupert, en Basse LozĂšre. Il y a Robert, le pĂšre, un Ă©rudit assez con tout de mĂȘme pour martyriser sa femme, leur fille ClĂ©mentine, prostituĂ©e par candeur et enfin leur fils Pissenlit qui joue les dĂ©biles profonds depuis quâil est tout petit, pour ne pas aller Ă lâĂ©cole alors quâil est pourtant une tronche en maths. Ăa va, vous suivez ? Sur cette trame malade, qui fut tout dâabord matiĂšre une piĂšce de cafĂ©-théùtre avant de devenir un film hors normes, Le graphique de Boscop nous parle dâun temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaĂźtre. Une pĂ©riode oĂč en France existait un humour verbal, libertaire, dĂ©bridĂ© et non subventionnĂ©, hĂ©ritier de lâesprit anarcho-comique de Mai 68. Le centre des opĂ©rations sâappelle Le CafĂ© de la Gare, une ancienne usine de ventilateurs dans le quartier de Montparnasse devenue en 1969 un lieu de libre crĂ©ation qui va rĂ©vĂ©ler le talent brut de Romain Bouteille autour de qui vont sâĂ©panouir des talents de demain. Ils ont pour nom Coluche, Miou Miou, Patrick Dewaere et Henri Guybet, mais tous volent dĂ©jĂ de leurs propres ailes quand sort en 1976 Le Graphique de Boscop. Seule Catherine Sigaux alias Sotha, coauteur du film, Ă©tait encore aux commandes du CafĂ© cinquante ans aprĂšs sa crĂ©ation. Dans le mĂȘme genre vous pouvez trouver LES TUCHE Ici aussi, il s'agĂźt d'une famille de gens modestes qui aspire et parvient Ă mieux. ou encore LE PĂRE NOĂL EST UNE ORDURE Comme le film de Jean-Marie PoirĂ©, celui de Georges Dumoulin met en scĂšne des gens de "la France d'en bas" et a Ă©tĂ© adaptĂ© d'une piĂšce de cafĂ©-théùtre Ă succĂšs..
Film ComĂ©die dramatique, Italie, 1976, 1h55Moins de 12 ansVOST/VFHDUn bidonville romain, d'oĂč l'on a vue sur la coupole de Saint-Pierre. Giacinto, le patriarche, vit avec les vingt membres de sa famille dans une bicoque de bois. Il veille souvent, fusil en main, sur son magot, un million de lires qu'il a touchĂ©es comme indemnitĂ© aprĂšs voir perdu un oeil...Critiques presseChronique fĂ©roce et nihiliste de la misĂšre humaine, au sein d'une grouillante et haineuse famille, dans un bidonville romain. Un chef-d'Ćuvre de cruautĂ©, une tragĂ©die satirique, oĂč Nino Manfredi trĂŽne comme un roi shakespearien complaisance ni sensiblerie dans cette peinture au vitriol des bidonvilles. Scola passe du burlesque au tragique avec une vitalitĂ© partagĂ©e par tous les la navigation pour parcourir la derniĂšre catĂ©gorieContinuer la navigation pour parcourir la derniĂšre catĂ©gorie
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